Évènement incontournable parmi les grands festivals musicaux internationaux, Rock en Seine se surpasse pour son dixième anniversaire, ce week-end au domaine National de Saint-Cloud. Autour de la recherche d’une programmation musicale de qualité, pour des artistes peu connus ou très célèbres, la grande fête invite aussi l’imaginaire de créateurs d’autres disciplines.
Envoûtante apparition de la façade du château de Saint-Cloud, détruit en 1870 par les Français lors du siège de Paris, avec un travail de projection de Clément Briend.
Les deux comparses du groupe rock et blues américain The Black Keys
Clément Briend : une de ses projections monumentales réalisées pour le festival autour de la rencontre du public de Rock en Seine et de monuments historiques français (ici, les alignements de Carnac et les bras levés de fans).
Le groupe français Caravan Palace : la rage et l’élégance.
Noel Gallagher’s High Flying Birds : Noel Gallagher transporte l’âme de feu Oasis.
Une jeune fille en Pussy Riot : clin-d’œil pour ne pas oublier les trois jeunes femmes condamnées à 2 ans de camp de prisonniers pour avoir chanté une prière anti-Poutine.
Rock’Art : pour la quatrième année consécutive, les organisateurs ont demandé a des illustrateurs, graphistes ou auteurs de bandes dessinées, connus ou moins connus, de réaliser des affiches en rapport avec la programmation de Rock en Seine. Cette année, 63 affiches étaient réunies dans un lieu unique.
Attraction foraine de Rock’n’Roll Circus, espace « entre Barnum et cour des miracles » de l’édition 2012 de Rock en Seine : fakirs, femmes à barbe, numéros de voltige. Mais aussi la grâce de danses maoris.
Affiches de films d’horreur africains peintes dans l’espace Rock’n’Roll Circus.
Pierrick Moritz
Catégories :Concerts, Expositions, Musique, Photographie
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